La culture japonaise est une fois de plus une source d’inspiration pour les dernières créations de Jérôme Fortin. La nouvelle série s’intitule Autoportraits et sera présentée à la galerie Pierre-François Ouellette (www.pfoac.com) du — au — 2008. Les oeuvres ont été réalisées au Centre d’art contemporai TOKYO WONDER SITE (www.tokyo-ws.org), un lieu de création, de recherche, de diffusion et d’échanges, à l’automne dernier dans le cadre d’un programme de résidence d’artiste.
Les Autoportraits sont des oeuvres réalisées à partir de papiers de sources diverses qui ont été trouvés ou ramassés lors de promenades dans les rues de Tokyo. L’inspiration première de cette série est une pratique rituelle et traditionnelle de voeux de guérison appelée Senbazuru (Thousand Origami Cranes). La découverte de cette pratique combinée aux expériences niponnes antérieures ont permis à l’artiste de développer des oeuvres qui s’apparentent aux kimonos ainsi qu’aux tissus qui servent à leur fabrication, mais également à leur mode de présentation dans les vitrines de boutiques et dans les musées.
Ces oeuvres font écho à la série Écrans qui fut l’objet d’une exposition personnelle au Musée d’art contemporain de Montréal, MACM (www.macm.org) au printemps 2007.
L’artiste tient à remercier le Centre d’art contemporain Tokyo Wonder Site, l’Ambassade du Canada à Tokyo, le Conseil des arts du Québec (CALQ) et le Conseil des arts du Canada (CAC).
Autoportraits
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La culture japonaise est une fois de plus une source d’inspiration pour les dernières créations de Jérôme Fortin. La nouvelle série s’intitule Autoportraits et sera présentée à la galerie Pierre-François Ouellette (www.pfoac.com) du — au — 2008. Les oeuvres ont été réalisées au Centre d’art contemporai TOKYO WONDER SITE (www.tokyo-ws.org), un lieu de création, de recherche, de diffusion et d’échanges, à l’automne dernier dans le cadre d’un programme de résidence d’artiste.
Les Autoportraits sont des oeuvres réalisées à partir de papiers de sources diverses qui ont été trouvés ou ramassés lors de promenades dans les rues de Tokyo. L’inspiration première de cette série est une pratique rituelle et traditionnelle de voeux de guérison appelée Senbazuru (Thousand Origami Cranes). La découverte de cette pratique combinée aux expériences niponnes antérieures ont permis à l’artiste de développer des oeuvres qui s’apparentent aux kimonos ainsi qu’aux tissus qui servent à leur fabrication, mais également à leur mode de présentation dans les vitrines de boutiques et dans les musées.
Ces oeuvres font écho à la série Écrans qui fut l’objet d’une exposition personnelle au Musée d’art contemporain de Montréal, MACM (www.macm.org) au printemps 2007.
L’artiste tient à remercier le Centre d’art contemporain Tokyo Wonder Site, l’Ambassade du Canada à Tokyo, le Conseil des arts du Québec (CALQ) et le Conseil des arts du Canada (CAC).